Comment se lancer en tant que Community Builder en freelance et profiter d’une opportunité unique ! (guide complet)
Chapitre 1 : L’introduction et le constat
Il y a plus de huit ans, j’ai décidé de me lancer en freelance, d’abord comme Social Media Manager, puis aujourd’hui comme Community Builder. Durant mes premières années, j’ai multiplié les démarches pour trouver des clients et pratiquer la prospection à froid, et je peux vous dire que ce n’était pas une partie de plaisir. C’est fou de constater la différence qu’il y a entre mon ancien métier et celui que j’exerce désormais. En tant que Community Builder, je n’ai jamais trouvé aussi simple de décrocher des contrats. Pour tout vous dire, mes chiffres sont à la limite de l’hallucinant : ils témoignent d’un fossé immense entre l’offre actuelle et la demande sans cesse grandissante.
En d’autres termes, on se trouve face à une ouverture totale de marché. D’après moi, se lancer comme Community Builder freelance représente le moyen le plus rapide et le plus simple de profiter de cette opportunité, sans exagérer. Mon intention ici est de vous détailler, étape par étape, comment vous emparer de ce levier et obtenir très vite vos premiers clients.
Chapitre 2 : Comprendre la différence entre Social Media Manager, Community Manager et Community Builder
Pour débuter, je tiens à clarifier un point : il y a souvent une confusion entre les rôles de Social Media Manager, de Community Manager et, plus récemment, de Community Builder. J’aime voir ces métiers comme une évolution logique, une forme de continuité.
À l’époque où les réseaux sociaux ont surgi, le Community Manager est devenu la pièce maîtresse chargée de produire du contenu, d’interagir avec le public et de veiller à la bonne tenue des pages. Il était en quelque sorte la “voix” de la marque. Puis, lorsque l’activité sur les réseaux est devenue plus complexe, est né le Social Media Manager : une fonction plus axée sur la stratégie, l’analyse, l’optimisation et la performance globale. Au final, le Community Manager, plus “exécutant”, applique la stratégie dictée par le Social Media Manager, qui s’efforce de rendre la marque visible et engageante au maximum.
Cependant, aujourd’hui, les besoins des consommateurs ont évolué : il ne suffit plus d’accumuler des vues ou des likes dictés par un algorithme. Les gens aspirent à se sentir vraiment proches d’une marque ou d’un créateur, à s’investir pleinement dans son histoire, à tisser un lien émotionnel avec elle. Les algorithmes, notamment depuis l’avènement de TikTok, deviennent de plus en plus capricieux, laissant souvent les entreprises en quête de solutions alternatives pour fidéliser leurs communautés.
C’est dans ce contexte que la dimension de communauté prend tout son sens. Un nouveau champ s’est ouvert : on assiste à l’apparition d’outils communautaires inédits, conçus pour aider toute personne (marque, créateur, entrepreneur) à bâtir une base solide de membres fidèles. Et ces outils réclament évidemment des spécialistes. De la même manière que le Community Manager a émergé avec Facebook, Twitter ou Instagram, on voit maintenant poindre la figure du Community Builder : le professionnel qui sait jongler avec ces plateformes, définir des stratégies d’animation et de gamification, et animer des communautés sur la durée.
Concrètement, le Community Builder est la personne qui, au sein d’une marque ou pour le compte d’un créateur, va mettre en œuvre une stratégie communautaire : il choisit la plateforme adéquate, planifie la fidélisation, conçoit la gamification, organise les animations, et veille au jour le jour sur cette communauté pour l’aider à grandir et à rester active. C’est un rôle subtil, à la fois stratégique et opérationnel, qui s’avère de plus en plus prisé par les entreprises.
Chapitre 3 : Les bénéfices concrets pour une entreprise
Les entreprises qui décident de mettre en place une vraie communauté récoltent des bénéfices évidents. C’est, à mes yeux, l’outil marketing le plus redoutable d’aujourd’hui (et pour les prochaines années). À travers cet espace dédié, une marque peut :
Fidéliser ses clients : Ils seront plus enclins à revenir et à choisir la marque plutôt que la concurrence.
Prolonger l’expérience client : Offrir une véritable immersion dans l’univers de la marque, avec des cadeaux, des exclusivités, des animations, voire une transparence sur les coulisses de l’entreprise.
Gagner en viralité : Engager des membres qui, via des stratégies de gamification, pourront parler de la marque sur leurs propres réseaux en échange d’avantages ou de contreparties exclusives.
Réduire les coûts publicitaires : Plutôt que de multiplier les campagnes ads, très coûteuses, la marque peut capitaliser sur le bouche-à-oreille et l’engagement organique des membres de la communauté.
En parallèle, la marque développe un storytelling puissant, puisque ses clients vivent désormais une aventure partagée plutôt qu’une simple relation commerciale. Elle se construit également une image pérenne, moins dépendante des changements d’algorithmes et plus ancrée dans l’affectif.
Si vous souhaitez vous lancer en tant que Community Builder, c’est cette valeur concrète que vous pouvez apporter aux entreprises. Et c’est particulièrement facile à vendre parce que les bénéfices sont nombreux, tangibles, et en pleine expansion.
Chapitre 4 : Les secteurs et types de clients potentiels
Il faut savoir que le Community Building n’est pas l’apanage d’un seul type d’entreprise. Il s’adresse à toute personne ou société ayant quelque chose à vendre, une image à défendre ou une audience à entretenir. Cela peut être :
Une marque B2C : Mode, alimentaire, beauté…
Une entreprise B2B : Certainement là où se négocient les plus gros budgets, même si elles ne sont pas toujours prêtes à investir massivement.
Une startup ou un SaaS : Souvent sensibles à l’importance de la communauté (comme Notion, Webflow), mais pas toujours dotés de moyens colossaux.
Des influenceurs et créateurs de contenu : Cibles parfaites, car ils possèdent déjà une fanbase et peuvent aisément prolonger l’expérience de leurs abonnés dans un espace privilégié, un “club” privé, voire payant.
Des artistes, sportifs : Tous les univers où la notion de “fanatique” et de “fanbase” est très forte. Le milieu musical, par exemple, commence tout juste à mesurer la puissance d’une communauté soudée autour d’un artiste.
Dans tous ces exemples, créer une communauté va répondre à un besoin de lien et de fidélisation. C’est donc un marché gigantesque qui s’ouvre, d’autant plus que la concurrence reste très faible.
Chapitre 5 : Le business model du Community Builder
D’une manière générale, le modèle économique d’un Community Builder ressemble à celui d’un Community Manager ou d’un Social Media Manager. On distingue :
La partie “one shot” : Cette phase consiste à élaborer la stratégie communautaire. On choisit la plateforme, on définit les valeurs, on détermine le but de la communauté. On conçoit aussi la gamification : quels défis, quels événements, quel système de récompenses va susciter l’adhésion des membres sur le long terme ?
La partie mensuelle (récurrente) : Une fois la stratégie mise en place, il faut animer la communauté au jour le jour : répondre aux questions, tenir l’outil à jour, modérer, organiser des activités, etc. On parle souvent de facturation sous forme d’abonnement ou de forfait mensuel pour cette gestion continue.
Cette approche en deux temps, assez proche de celle du Social Media Manager, fonctionne particulièrement bien, car elle met en lumière le travail stratégique initial (souvent sous-estimé) et l’effort quotidien (sans lequel la communauté s’essoufflerait).
Chapitre 6 : Se créer des bases solides pour se lancer en freelance
Avant de démarrer, il convient tout de même de poser quelques jalons.
D’abord, la question du positionnement et de la niche :
→ Soit vous vous spécialisez d’emblée, parce que vous avez une passion ou une expertise forte dans un domaine particulier (sport, mode, crypto, B2B, etc.). C’est un choix judicieux quand on se sent motivé par un univers précis ou quand on a déjà remarqué une concentration de demandes dans un secteur.
→ Soit vous vous lancez en restant généraliste, ce qui n’est pas un problème étant donné la faiblesse de la concurrence et la largeur du champ des possibles. Vous identifierez peut-être une niche plus tard, au gré de vos missions.
Ensuite, il y a la partie administrative. Si vous êtes en France, le statut autoentrepreneur est simple : un formulaire sur le site de l’Urssaf, quelques semaines de patience, et vous pouvez facturer vos services légalement. Un point incontournable, mais rapide à régler.
Vient la question du portfolio : si vous êtes totalement débutant, je vous invite à créer votre propre petite communauté pour prouver de quoi vous êtes capable. Produisez du contenu autour d’un sujet qui vous passionne, animez un groupe, faites des tests sur une plateforme choisie. Vous pourrez alors montrer à vos prospects vos réalisations concrètes. Si vous avez déjà fait du community management ou du social media, servez-vous de vos expériences passées pour consolider votre crédibilité.
Enfin, pour le tarif, n’ayez pas peur de facturer à votre juste valeur. Il y a un réel manque d’offres et les entreprises le savent. Je vous conseille de bien séparer la “stratégie” (one shot) de l’animation (mensuelle) dans vos devis, pour que le client prenne conscience du travail intense que requiert la mise en place initiale.
Chapitre 7 : Structurer son offre et la proposer aux clients
Arrivons-en au moment crucial : la présentation de votre offre. C’est souvent le point qui va faire basculer un prospect en client.
Pour ma part, j’aime énormément Notion. Je crée des pages sur cet outil pour expliquer à mes potentiels clients la marche à suivre. J’y mets généralement quatre grands volets :
Le constat : Je décris les limites du marketing “classique” dans le secteur concerné, en soulignant ce qui peut freiner la croissance de leur audience ou leur fidélisation.
La solution : J’expose en quoi la création d’une communauté (un espace privé, un système de gamification, des animations régulières) est la clé pour sortir d’une dépendance aux algorithmes.
Les bénéfices : Je liste tout ce que cette approche leur apportera : fidélisation, viralité, visibilité organique, storytelling renforcé, baisse des coûts publicitaires, etc.
La proposition de collaboration : Je présente la démarche en deux phases :
→ Phase 1 : One shot – Mise en place de la stratégie, définition des objectifs, choix de la plateforme, mise en place de la gamification, réflexion sur l’acquisition des premiers membres, etc.
→ Phase 2 : Mensuelle – Animation, modération, évènements, accompagnement des nouveaux membres, ajustements en continu.
Je précise le prix pour chacune des deux phases, en indiquant clairement que la phase mensuelle est un abonnement reconduit de mois en mois, avec éventuellement un point de bilan au bout de trois mois pour réévaluer (car plus la communauté grandit, plus il y a de travail).
Un dernier aspect à considérer, c’est la spécialisation ou non dans une plateforme précise. Certains Community Builders sont de véritables experts Discord, Slack, Circle ou autre. C’est un choix intéressant pour répondre à des appels d’offres très ciblés ou pour une niche donnée. Cela dit, vous n’êtes pas forcé de vous enfermer dans une seule technologie : le plus important est de comprendre les mécaniques et de savoir les appliquer à différentes plateformes, selon la cible.
Chapitre 8 : Comment trouver ses premiers clients rapidement
Maintenant que tout est en place, la question qui revient souvent est : comment signer ses premiers contrats ?
Sincèrement, vous allez être surpris de l’efficacité de la prospection à froid en community building. À l’époque où j’opérais comme Social Media Manager, j’avais beau multiplier les approches, je me heurtais à un mur, car les prospects avaient déjà reçu des dizaines de messages similaires et la concurrence était rude.
Aujourd’hui, je fonctionne quasi exclusivement via la prospection sur Instagram. Je repère des marques, créateurs ou entrepreneurs qui ont déjà une audience et qui, de mon point de vue, gagneraient à avoir une communauté pour prolonger l’expérience de leurs membres. J’étudie un peu leur positionnement, leur promesse, je prends le temps de formuler un message personnalisé : un compliment sincère sur leur travail, puis l’idée de la communauté pour booster leur lien avec leur audience, et je propose qu’on en parle si ça les intéresse.
Sur un envoi de cinq messages personnalisés, je décroche presque à chaque fois un rendez-vous (parfois plus). C’est la preuve qu’il y a un vaste terrain encore peu exploité. Les prospects sont ouverts et curieux. Et je précise que je démarche depuis mon compte Instagram personnel, qui n’est même pas brandé comme “expert Community Builder”. Autant dire qu’avec un profil pro plus soigné, les taux de réponse pourraient grimper davantage encore.
Pour le long terme, vous pouvez bâtir votre image d’expert sur LinkedIn ou TikTok, publier des articles, des posts, des analyses, pour montrer à quel point vous maîtrisez la gamification et l’animation de communautés. C’est un moyen de construire un portfolio immatériel. Les prospects qui hésitent pourront aller lire vos contenus et constater d’eux-mêmes votre sérieux. C’est gagnant-gagnant.
Chapitre 9 : Passer de freelance à agence et aller encore plus loin
Si tout se passe bien, vous pourriez très vite vous retrouver avec plus de demandes que vous ne pouvez en gérer seul, parce que, mine de rien, animer une communauté prend du temps au quotidien. Deux chemins s’offrent alors à vous :
Augmenter vos prix et monter en gamme pour gérer moins de clients, mais mieux payés.
Créer votre propre structure (par exemple une SASU), recruter ou collaborer avec d’autres Community Builders, automatiser certaines tâches, et prendre en main un nombre croissant de projets.
On a déjà vu ce phénomène avec certaines agences spécialisées sur Discord, qui engrangent des dizaines de milliers d’euros de chiffre d’affaires mensuel à peine deux ans après leur création. C’est dire à quel point ce secteur peut grandir vite. Vous pouvez même imaginer étoffer votre offre : proposer des coachings, vendre des ressources prêtes à l’emploi (templates, stratégies de gamification), ou adopter une formule de consulting plus légère en temps, mais plus rentable.
Conclusion – Pourquoi se lancer maintenant
Pour conclure, je dirais qu’il est urgent de ne pas passer à côté de cette ouverture de marché. On est réellement dans la même situation que lors de l’émergence des Community Managers, à l’époque où les réseaux sociaux ont tout transformé. Sauf qu’ici, on parle d’un potentiel encore plus vaste : la communauté vient répondre à un besoin pressant des marques et des utilisateurs, lassés de devoir jongler avec des algorithmes changeants et des stratégies marketing aseptisées.
Avec le Community Building, vous pouvez proposer une solution profondément humaine et durable. Les entreprises en comprennent déjà la valeur, il ne leur manque que l’expert ou l’experte qui saura la mettre en œuvre et l’animer. Or, c’est précisément ce qu’incarne le Community Builder.
Alors, si vous avez la curiosité, la motivation et l’envie d’aider des marques ou des créateurs à fonder des communautés florissantes, lancez-vous sans tarder. Devenez freelance, amorcez la construction de votre offre, créez éventuellement votre propre communauté pour tester vos idées, et n’hésitez pas à prospecter. Vous serez étonné·e de la rapidité avec laquelle les portes s’ouvriront. Et si, dans quelques mois, vous en venez à devoir refuser des contrats par manque de temps, ce sera le moment de franchir une nouvelle étape, de recruter ou d’augmenter vos tarifs.
Prenez cette opportunité à bras-le-corps. Selon moi, c’est l’une des plus prometteuses de ces dernières années, dans le domaine du digital et de l’entrepreneuriat. Je vous souhaite un très beau succès dans cette aventure !
✨ Bonus 1 : Mesurer la réussite de votre communauté – Les KPI essentiels
Mettre en place une communauté est une chose, mais encore faut-il être capable d’évaluer son efficacité. Plusieurs indicateurs clés de performance (KPI) peuvent vous aider à suivre la progression et la santé de votre communauté :
Le taux d’engagement : Il mesure la participation réelle de vos membres à travers leurs interactions (messages, réactions, réponses, etc.). Un taux d’engagement élevé est le signe d’une communauté dynamique.
La rétention : Observez la façon dont les membres reviennent, jour après jour ou semaine après semaine. Une forte rétention est le gage d’un intérêt continu pour la valeur que vous proposez.
Le nombre d’utilisateurs actifs : Selon la plateforme, vous pouvez mesurer le nombre d’utilisateurs actifs quotidiens (DAU) ou mensuels (MAU). C’est un indicateur plus pertinent que le simple total de membres.
Le Net Promoter Score (NPS) : Il permet d’évaluer la propension de vos membres à recommander votre communauté ou votre marque à d’autres.
La vitesse de croissance : Combien de nouveaux membres rejoignent votre espace chaque jour, chaque semaine ou chaque mois ? L’évolution de ce chiffre peut révéler l’efficacité de vos stratégies d’acquisition ou de bouche-à-oreille.
En suivant ces KPI de manière continue, vous pourrez ajuster votre stratégie, renforcer certains volets d’animation et repérer ce qui suscite le plus d’enthousiasme au sein de votre communauté.
✨ Bonus 2 : Gérer les moments délicats – Modération et crises
Toute communauté, même la plus bienveillante, peut faire face à des tensions, des trolls, ou des situations de crise. En tant que Community Builder, vous devez vous y préparer :
Prévoir une charte de bonne conduite : Dès l’entrée, fixez des règles claires sur les comportements autorisés ou interdits. Cela vous aidera à agir plus sereinement en cas de débordements.
Anticiper la réaction face à un “bad buzz” : Peut-être qu’un membre influent va critiquer ouvertement la marque, ou qu’un problème avec un produit va susciter une vague de commentaires négatifs. Avoir un plan d’action de crise vous permet de répondre rapidement et de manière coordonnée.
Rester transparent et humain : Mieux vaut reconnaître une erreur ou un dysfonctionnement et expliquer comment vous comptez y remédier, plutôt que de vous retrancher derrière un mur de silence. La sincérité est une valeur forte en communauté.
Savoir modérer fermement mais justement : Si un membre viole les règles ou adopte un comportement toxique, vous devez parfois vous résoudre à le sanctionner ou l’exclure. Expliquez, si possible, les raisons et restez toujours respectueux dans la forme.
Gérer la modération, c’est un vrai savoir-faire qui mêle psychologie, empathie, et sens de la justice. C’est aussi ce qui garantit une atmosphère saine et attractive pour la majorité des membres.
✨ Bonus 3 : Astuces pour optimiser votre productivité
Gérer une ou plusieurs communautés exige une grande rigueur organisationnelle. Voici quelques conseils pour éviter de vous éparpiller :
Blocs de temps : Planifiez des plages horaires précises pour la modération, la création de contenu et la préparation d’événements. Évitez de naviguer entre toutes vos communautés en permanence, car ça peut disperser votre concentration.
Automatisations : Selon la plateforme, vous pouvez automatiser des messages d’accueil, programmer des rappels pour les événements, ou encore utiliser des bots simples pour répondre aux questions fréquentes.
Outil de gestion de projets : Trello, Asana ou Notion peuvent vous aider à suivre vos tâches, vos deadlines et vos objectifs, surtout si vous travaillez avec une équipe ou des freelances que vous déléguez.
Calendrier éditorial : Cela permet de visualiser rapidement quel contenu ou quelle animation vous allez publier, et à quelle date. Ainsi, vous gardez une cohérence et vous prenez de l’avance.
En travaillant votre productivité, vous serez en mesure de gérer davantage de clients si la demande augmente, ou de vous libérer du temps pour développer vos offres premium ou d’autres projets.
✨ Bonus 4 : L’importance du personal branding et du réseautage
On l’a déjà évoqué, mais il est impossible d’insister suffisamment : votre image personnelle en tant que Community Builder influence directement la confiance que vous inspirerez à vos prospects. Pour renforcer cette image :
Partagez régulièrement : Racontez vos succès, vos difficultés, vos découvertes, sur LinkedIn, Twitter, ou toute autre plateforme où votre audience potentielle est présente.
Donnez avant de recevoir : Offrez des conseils gratuits, répondez à des questions dans les commentaires, écrivez des articles de blog. Vous serez remarqué comme quelqu’un de généreux et de compétent.
Élargissez votre réseau : Rejoignez des groupes professionnels, assistez à des webinaires, participez à des événements (même virtuels). Les opportunités naissent souvent de discussions informelles.
Le personal branding n’exige pas nécessairement de gros moyens ou une stratégie ultra aboutie. L’authenticité est le maître-mot. Plus vous partagerez votre passion pour le community building, plus vous susciterez de l’intérêt et fédérerez une audience autour de vous.
Merci Hugo ! Tout était parfait, je prépare mon lancement et te lire m’a conforté sur le fait d’être sur la bonne route. Avec ton expérience de 8 ans, tu as été précurseur sur ce besoin ! Bravo 👏🏾